La Lune en Bouche chambre_hote à Saint-Andéol

Faîtes durer le plaisir!
Tourisme durable

Chambres D'hôtes Saint-Andéol

La Lune en Bouche

Saint-Andéol

Chambres d'hôtes

A partir de 61.00 € la nuitée pour 2 avec petit-déjeuner

En remontant la vallée de la Drôme, il y a une petite route qui mène à la Vallée de Quint, vallée à la beauté préservée en face sud du parc naturel du

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Description

En remontant la vallée de la Drôme, reconnue comme territoire exemplaire dans sa démarche de développement durable en 2010 et appelée Biovallée®, il y a une petite route qui mène à la Vallée de Quint. A gauche, le Plateau d’Ambel se dessine, avec la tête de la Dame qui pointe vers le sud. A droite on devine le Saint-Genis qui s’élève à 1628 mètres d’altitude. Entre les deux : la Porte d’Urle, domaine des bouquetins et des mouflons, s’ouvre sur le Vercors.

C'est dans ce cadre que vous trouverez les chambres d'hôtes La Lune en Bouche.

Les chambres, situées au rez-de-chaussée l'habitation de Françoise et Jean-Claude, sont indépendantes et possèdent toutes une salle de bain privée. La vie de cet espace, véritable petit hameau avec un étang, un potager, des prés pour les ânes, s’articule autour d’une salle commune de 50m², avec cuisine équipée et coin salon.

Vous trouverez également une petite épicerie. Le principe est simple : les tarifs sont affichés, chacun se sert, note ce qu’il prend et paye en fin de séjour : « On ne propose que des produits locaux. C’est simple et cela dépanne bien ! ». Alors, si l’on a besoin de pain, de fromage pour un pique-nique improvisé, ou encore un petit creux en plein nuit, c’est possible !

En couple, en famille ou entre amis, cyclistes, randonneurs, organisateurs de stage, vous êtes les bienvenus à la lune en bouche.

Amoureux de la nature, des belles rencontres et des plaisirs simples, n’hésitez pas ! Vous serez bien accueillis par Françoise et Jean-Claude, dans ce petit coin de nature dans le Parc Naturel Régional du Vercors.

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Démarches responsable

Solidarité : « Tout d’abord dans le rapport humain que l’on instaure avec ceux que l’on accueille, et également avec les habitants du territoire. Le fait de mettre en lien les visiteurs avec les habitants : visite de la chèvrerie, en proposant des produits locaux (tisanes, poulet, agneau, fromage de vache etc.). C’est aussi privilégier les achats en local, se refuser à acheter loin, ce qui est produit dans le Diois ».

Sobriété :

« En énergie évidemment, par la gestion et l’utilisation d’énergies renouvelables, la gestion des déchets, des ressources premières. Mais également la sobriété dans le transport ».

En effet, depuis 4 ans Françoise et Jean-Claude proposent des tarifs spéciaux pour les visiteurs qui viennent en train : une nuit gratuite pour les longs séjours et le repas du jour de l’arrivée pour les courts séjours.
Deux vélos sont également mis à leur disposition. Ils ont également un accord avec un loueur de Die, « A bicyclette« , qui pratique une remise de 15% à la semaine sur la location de vélos électriques pour les gens qui viennent en train.

Jean-Claude organise ses approvisionnements et autres rendez-vous sur Die afin de pouvoir prendre les voyageurs directement à la gare, ou alors seulement les bagages, les vélos pouvant y être déposés.
S’il ne descend pas sur Die, le département propose un service de navette-taxi. « Nous insistons également auprès des organisateurs de stages afin qu’ils organisent également le co-voiturage ».

Santé : « La santé alimentaire tout d’abord : nos repas sont confectionnés à base de produits bio et ou locaux, issus de petites exploitations paysannes qui travaillent sans intrants chimiques. Nous avons également utilisé des écomatériaux (isolants naturels, des peintures que nous avons faites nous-même, des enduits à la terre etc.) pour la rénovation de nos bâtiments ».

Simplicité : « Cela représente plusieurs choses. Premièrement dans les aménagements que nous avons réalisés, accessibles financièrement. Nous essayons également d’avoir des prestations qui ne soient pas trop chères : le repas est à 15 € par exemple et nous aimons bien manger et pas seulement des légumes ! La simplicité également dans la décoration : pas de tape à l’œil ».

Jean-Claude continue m’expliquant qu’ils organisent également de petits séjours en début de saison, sorte de « Wwoofing » : des chantiers participatifs « pour des personnes qui n’ont pas les moyens de se payer des vacances, on leur dit : venez pendant 4/5 jours, on bosse, on se balade, on passe des soirées ensemble. C’est l’ouverture de saison ! Si on pouvait ne faire que cela, on ne ferait que cela. C’est trop bien » et Françoise en rigolant « On crée du lien. On devrait être subventionné pour le faire toute l’année ! ».